Ces politiques lamentables ne manquent tout de même pas d'air et d'aplomb
! Alors qu'il était clair à tous que Sarkozy piochait allègrement dans les
subsides de l'état et de sa fonction de Président de la République Française,
Monsieur le Président faisait mine de pas grand chose ! Il usait et abusait des
fonds de l'État dans le but unique de sa promotion personnelle, pour sa
campagne présidentielle.
Non contant de nous avoir mis dans des situations insoutenables de
chômage, de charges et de précarité durant 5 longues années, il usait abusivement de ses
frais de représentation pour faire campagne. Mais pire est qu’aujourd’hui ces
gens de mal viennent sans vergogne pleurer misère auprès du bon peuple qu'il ont
bafoué, spolié et mis plus bas que terre durant un quinquennat entier sans
hésitation ni regret faisant la part belle au patronat contre la plèbe ouvrière
et des petites gens.
"J'appelle les sympathisantes et les sympathisants qui chaque jour
s'engagent plus nombreux à nos côtés.
J'appelle aussi les Françaises et les Français qui ne partagent pas forcément toutes nos
idées, mais qui considèrent
indispensable, vital même, vital, qu'un grand parti de droite et du
centre s’attelle à préparer l'avenir des enfants de France, à répondre à la grande souscription
nationale que je vais lancer dès lundi afin de barrer la route à celles et ceux qui
ne rêvent que d'une chose : voir l'espace politique français monopolisé par la
gauche et par les partis extrémistes."
Ils nous ont saignés et maintenant il faudrait sauver ce parti,
celui des patrons, celui de l'argent,
celui du pouvoir de l'argent, celui des influences ! "Par pitié ! Secourez-nous
!" Et ils n'y vont pas par quatre chemins ! Après avoir usé d'argent qui ne leur
appartenait pas, ils reviennent à la charge pour une double peine à la clef !
Ces messieurs de droite et de l'UMP ne reculent devant rien. Au premier passage
on pique, au second, on ratisse !
"Donnez, donnez-nous" ! Ainsi que le chantait si bien
Enrico Macias !
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